Un des pires massacres patrimoniaux s’est fait ici dans les Basses Laurentides lors de l’expropriation des villages de la région connu maintenant sous le vocable de Mirabel.
Les effets sont encore perceptibles présentement et les séquelles du démembrement des villes et villages de la région sont de plus en plus évidentes. Je prends comme exemple la municipalité de Saint-Antoine des Laurentides qui fut scindée et perdit une partie de son territoire, la région rurale et une partie du cœur de la ville.